Prologue Les paysages peuvent parfois être si
Prologue
Les paysages peuvent parfois être si lointain, un
souvenir si parfait dans ma mémoire m'enivre d'un parfum
encore inconnu. Les halos de lumières, flammes des anges,
encore me tourmentent par ses ombres. Mon âme se consume,
partout ou les rivières deviennent rouges, gouffre d'un désir utopique ou le pécher devient mon secret. La bête et
la conscience sont des guerres interminables d'instinct et de
battement cœur, pour le peu qu'il me reste... certes, leurs
chuchotements m'inspirent leurs agonies. Un dernier souffle, une
dernière goutte de mes oasis éphémères,
je suis l'éternel altéré de ma condition. Ma
plus grande complaisance défile parmi leur société,
leur similitude. Je me distrait aisément par toutes ses
attractions ou j'en suis, parfois, moi-même l'artiste. L'être oppresseur de tant de fascination, d'un monde sans dieux, j'en
déguste tout sa dépravation. En voici la teneur, mon
nom est Joshua.
Merci à Jo, c'est elle qui a composé cette petite merveille en l'honneur de joshua!
bisous, Mem :)